MOTIONS SUR LE SUIVI DE CARRIERE 2020

Publié le : 07/02/2020

Section  08 (Langues et littératures anciennes)
 
En accord avec les positions qu'elle a adoptées lors de la précédente mandature, la 8e section du CNU demande l'abandon du suivi de carrière, tant que ses finalités n'auront pas été clairement énoncées. Elle refuse de mettre en œuvre cette procédure en 2020 et appelle les collègues à ne pas déposer leur dossier sur Galaxie.
 
Motion votée à l’unanimité des présents

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Section  19 (Sociologie)

Réunie en section plénière, la section 19 du CNU annonce qu'elle refuse, à l'unanimité, d'appliquer la procédure du suivi de carrière : elle ne siégera pas et n'examinera pas les dossiers. La section demande l'abandon de cette procédure et appelle :

  • les collègues à ne pas déposer leur dossier sur Galaxie ;
  • les autres sections du CNU à ne pas mettre en oeuvre le suivi de carrière.

Vote à l'uninamité.

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Section  24 (Aménagement de l'espace, urbanisme)

Réunie en session plénière le 6 février 2020, la section 24 du CNU confirme sa décision adoptée en février 2015 et confirmée en février 2017 de ne pas appliquer la procédure du suivi de carrière en l’état. Elle n'examinera donc aucun dossier.

Votée à l'unanimité.

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Sections 25 (Mathématiques)  et 26 (Mathématiques appliquées et applications des mathématiques)

« Les sections 25 et 26 décident de ne pas mettre en place le suivi de carrière : faute d’une définition précise des objectifs, des modalités et de l’allocation de moyens dévolus à cette nouvelle mission, celle-ci ne peut être mise en oeuvre jusqu’à nouvel ordre. »

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Section  72 (Sciences de l'information et de la communication)

En accord avec les décisions prises par les précédentes mandatures, la section 72 du CNU « Épistémologie, histoire des sciences et des techniques », réunie en séance plénière à l’INSPE de Paris, le 6 février 2020, confirme son refus de mettre en œuvre le dispositif du « suivi de carrière ». La section reste cependant attentive aux demandes des enseignant.e.s-chercheur.e.s qui exprimeraient le désir de recevoir un avis sur leur dossier.

Bien qu’opposée à la politique des primes — qui vise à mettre en compétition les un.e.s avec les autres les enseignant.e.s-chercheur.e.s qui peuvent légitimement y voir un moyen de compenser la perte de pouvoir d’achat liée au gel du point d’indice subi depuis de nombreuses années —, la section les incite quand même à déposer des dossiers de demande de PEDR, puisque le nombre de primes attribuées est fonction du nombre de demandes.