Flash n°25 (html)


CHOISIR LA FSU, LE SNESUP POUR VOUS FAIRE ENTENDRE
Réussir l’intégration des IUFM et vote du 27 mars pour le
CTPMESR
La lettre Flash au format pdf (mise en page originale)
1. IUFM :
Nous sommes amenés à distinguer
• la visée universitaire, éducative de l’intégration
: asseoir plus fortement les formations sur la recherche en éducation
(à développer), faire évoluer les recrutements, articuler
formations académiques, pratiques et réflexion sur celles-ci,
etc.,
• de la brutalité des dispositifs arrêtés par le gouvernement
pour précipiter certains IUFM (9 aujourd’hui) dans des universités
« intégratrices ».
Nous tenons au SNESUP à développer, au sein de l’ « IUFM intégré », le potentiel de formation dans sa richesse et sa diversité, dans ses implantations équilibrées sur le territoire national. Ainsi, une mission nouvelle et d’importance s’inscrit dans celles de certaines universités. C’est une ambition importante pour laquelle il convient de rassembler toutes les compétences, sans pour autant fragiliser les filières de formation, en particulier en L, les filières de recherche (et pas seulement dans les sciences de l’éducation) des universités « non intégratrices ».
Dans les IUFM, dans les Universités, le SNESUP, ses sections interviennent avec force pour le respect des missions, des droits des personnels et la signature de conventions équitables entre tous les partenaires. Les statuts de l’IUFM, devenu Ecole interne, doivent faire toute leur place aux personnels, aux étudiants en formation, aux organisations syndicales.
Le SNESUP intervient partout avec le SNES, le SNUIPP, le SNEP, le SNASUB, pour rassembler les collègues et leurs revendications.
2. CTPMESR :
Le Comité Technique Ministériel Paritaire de l’Enseignement
Supérieur et de la Recherche est consulté sur les statuts des
établissements, les statuts des personnels, à l’exception
de ceux (PU, MCF, Assistants de l’Enseignement Supérieur) qui relèvent
du CTPU, les décrets concernant les personnels précaires, les
textes relatifs au Comité Hygiène et Sécurité.
Tous les personnels de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, en particulier tous les enseignants du supérieur, sont donc concernés par les questions traitées au CTPMESR, et sont susceptibles d’y siéger, comme représentants désignés par les organisations syndicales. La répartition des sièges se fait sur la base des résultats des élections du CTPU (pour les enseignants-chercheurs de statut universitaire), des CAP des corps de fonctionnaires de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur (chercheurs, ITA, ITARF, enseignants ENSAM, …) et, pour les autres catégories, de ce scrutin de représentativité.
Qui vote ? |
Enseignants du second degré affectés dans
le supérieur Enseignants non-titulaires, ATER, jeunes chercheurs
|
Le SNESUP et la FSU revendiquent la mise en place d’un vrai
plan de résorption de l’emploi précaire, adapté
au niveau des diplômes et des qualifications de l’Enseignement
Supérieur et préconisent un dispositif de pré-recrutement
et de formation des enseignants-chercheurs dans un statut de fonctionnaire
stagiaire. |
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syndicat national de l'enseignement supérieur – 78, rue du faubourg saint-denis – 75010 – Paris Tél. : 0144799610 – Fax : 0142462656 – Courriel : accueil@snesup.fr – Site web : www.snesup.fr
Cette lettre-flash du SNESUP-FSU, envoyée aux syndiqués (fichier pdf avec mise en page originale), peut être diffusée sans réserves dans les départements d'enseignement et laboratoires, comme les lettres flash à venir, de façon à maintenir le lien fort entre la communauté scientifique et les représentants syndicaux présents et acteurs des négociations. Lien nécessaire pour nous faire entendre. Utiliser tous les moyens, courrier électronique, diffusion papier, ? et faire part d'observations sur tous les contenus et les formes de la négociation à : sg@snesup.fr