ParisXIII:motions CPE

Publié le 9 mars 2006

Paris XIII

Motion des Conseil des études et de la vie universitaire (CEVU) et Conseil d'Administration (CA) du 09/03/2006
Motion CEVU adoptée par 2 CONTRE / 1 ABS / 1 REFUS DE VOTE / 30 POUR | Motion CA adoptée par 2 CONTRE / 9 ABS / 1 REFUS DE VOTE / 43 POUR

Motion du CEVU du 9 mars 2006

Le CEVU de l?Université Paris 13 réuni le jeudi 9 mars a entendu une délégation d'étudiants en grève et de personnels mobilisés dire leur grande inquiétude quant à la mise en place du Contrat Première Embauche, qui prend place dans le projet de loi dit d'« égalité des chances ».

En tant qu?établissement public dont l?une des missions est l?enseignement supérieur, l?Université Paris 13 est particulièrement attentive au devenir et à l?insertion professionnelle des jeunes qu?elle accueille dans ses formations.

    Le CEVU de l?Université Paris 13:
  • s?inquiète de l?instauration d?un tel contrat qui renforcera la situation de précarité des jeunes jusqu?à 26 ans, et pèsera sur leurs possibilités d?insertion durable après cet âge.
  • partage les inquiétudes des étudiants et apporte un ferme soutien à leur mobilisation pour obtenir l?abandon du CPE, sans forcément s'associer à toutes les modalités.
  • fera tout ce qui est en son pouvoir pour que les intérêts des étudiants ne soient pas lésés dans le déroulement de leurs études.
  • souhaite que le CA réuni ce vendredi 10 mars se prononce dans le même sens.

Motion du CA du 10 mars 2006

Le CA de l?Université Paris 13 réuni le vendredi 10 mars exprime une grande inquiétude quant à la mise en place du Contrat Première Embauche, qui prend place dans le projet de loi dit d'« égalité des chances ».

En tant qu?établissement public dont l?une des missions est l?enseignement supérieur, l?Université Paris 13 est particulièrement attentive au devenir et à l?insertion professionnelle des jeunes qu?elle accueille dans ses formations.

    Le CA de l?Université Paris 13:
  • s?inquiète de l?instauration d?un tel contrat qui renforcera la situation de précarité des jeunes jusqu?à 26 ans, et pèsera sur leurs possibilités d?insertion durable après cet âge.
  • partage les inquiétudes des étudiants et apporte un ferme soutien à leur mobilisation pour obtenir l?abandon du CPE, sans forcément s'associer à toutes les modalités.
  • fera tout ce qui est en son pouvoir pour que les intérêts des étudiants ne soient pas lésés dans le déroulement de leurs études.